La période de 2011-2014 représente le mandat issu du congrès de Vichy.
2014-2018, le congrès de Dijon.
2018-2021, le congrès de Perpignan.
2021-2025, le congrès de Rennes.
En novembre 2025, le congrès de Metz ouvrira un nouveau cycle.
Webinaire – le rôle des ingénieurs pour la réindustrialisation
Sanofi, Nokia, Renault, Michelin, Airbus, GE, IBM, etc. Les ingénieurs subissent de plein fouet les suppressions d’emplois.
Notre secteur productif a été dépecé, nos savoir-faire stratégiques (R&D) transférés à l’autre bout de la planète, ruinant les bassins d’emploi et notre capacité de production industrielle. Aujourd’hui, la crise sanitaire met cruellement en lumière notre incapacité à produire ne serait-ce que des masques en papier !
La pandémie a remis la recherche scientifique et ses avancées au centre des débats politiques, et en lumière ses enjeux sanitaires bien sûr, mais également politiques, géostratégiques, démocratiques…
Dans le privé, les grands groupes, plus que jamais soumis au talon de fer des actionnaires, liquident leur R & D, préférant la fuite en avant de la sous-traitance ou l’achat sur étagère. Dans le public, les moyens stagnent misérablement pendant que la précarité reste au cœur du système d’embauche et de recrutement, grevant la possibilité de penser sur le temps long.
Comment, dans un tel contexte, le syndicalisme peut-il contribuer à hausser la rémunération du travail, celle du partage de la valeur et des moyens dévolus à la recherche publique au niveau qu’exigent à la fois l’urgence et le futur ?
Recherche et ingénierie : catastrophe industrielle en vue (Tribune dans Les Echos)
Les multiples plans sociaux annoncés dans l’industrie – dont la plupart concernent les cadres – risquent de réduire encore la capacité de notre pays à fabriquer des produits stratégiques, estiment Sophie Binet et Marie-José Kotlicki, cosecrétaires générales de l’Ugict-CGT.
La recherche, un enjeu pour la transition énergétique
Parce qu’elle ouvre par essence des perspectives, la recherche doit être soutenue par des investissements et des programmes. Ce qui suppose un changement de cap.
Le 21 octobre 2014, plus de 70 participants ont répondu présents à l’initiative organisée par le collectif confédéral Recherche animé par l’UGICT. Il est ressorti de ce débat riche et constructif avec la participation de plusieurs fédérations et UFICT, de conseillers des CESER, et de nombreux intervenants que la recherche publique ou privée pilier de la transition énergétique n’a pas les moyens de jouer son rôle et d’assurer le droit à l’énergie pour tous alors que la France compte 11 millions de précaires énergétiques. Les sous-investissements, aussi bien dans le volet industriel, que dans les organismes de recherche publique, les universités, les Epic et la précarité de 35 % des personnels, interdisent aux équipes de développer dans leurs labos les solutions de demain. Leur quotidien aujourd’hui consiste surtout à courir après les subventions, quand ils ne sont pas contraints à limiter leurs travaux en projets dont le retour sur investissement est immédiat.
Cependant, qu’ils soient chercheurs, cadres ou techniciens, les salariés portent de grands espoirs sur les syndicats parce qu’ils identifient clairement les mécanismes destructeurs qui vident le travail de son sens, érodent la démocratie sociale. Leurs revendications se rejoignent : reconnaissance des qualifications, augmentation du point d’indice, droit d’intervention sur les décisions stratégiques ou encore respect des objectifs de Lisbonne avec 3 % du Pib pour la recherche.
Laissez-nous bien travailler ! revendiquent-ils tous.
Suite au vote de la loi relative à l’enseignement supérieur et à la recherche du 22 juillet 2013 et aux nouvelles compétences des collectivités territoriales, la CGT est confrontée à de nouveaux enjeux centrés sur les régions. Quelles stratégies cohérentes d’intervention se donner tant au niveau régional que national ? Le Collectif confédéral Recherche a organisé une journée d’étude sur ce sujet le 4 février 2014.
25 Fév 2012
Repères sur le paysage de la recherche
Un document de 20 pages sur le paysage de la recherche adressé aux candidats à la présidentielle de 2012 et servant de base à l’activité sur les questions de recherche